top of page

Etre chercheuse en 2024

Je mène des recherches sur les interactions graphiques des civilisations connues avant la naissance du Christ et pour lesquelles graphies, les études scientifiques cloisonnent géographiquement et nationalement les savoirs humains ainsi que leur accès aux mondes des femmes.

Néanmoins, la femme et les climats sui font que les groupes ethniques engendrés soient aussi différenciés racialement de part les sciences humaines, en tant que spécialiste de la matérialité du texte, j'entends prouver que les interactions graphiques qui sont l'expression de la pensée aux époques protohistoriques sont graphiquement exprimées dans des Pays froids et des Pays dont les études scientifiquement orientées dans les domaines des savoirs écrits par les dits Pays froids et tempérés, prouveront que les habitacles des hommes sont des facteurs d'évolution des savoirs humains. Il est bien connu que l'homme du Nord vit dedans alors que l'homme du sud vit dehors. Au Nord il fait froid, on vit dedans où la chaleur est préservée alors qu'au Sud dedans il fait chaud, on vit donc dehors. Cette est un raccourci non valable pour les peuples migrants et immigrés depuis des siècles tant au Nord qu'au Sud. Seulement ces données ne sont pas intégrées aux chercheurs qui bénéficient des aides financières pour lesquelles les données nationales et internationales sont ainsi sourcées. Ces Données sont lacunaires ! Et unilatérales. Or nous en tant que femmes savons bien que l'humanité masculine et féminine n'est pas unilatérale ni même formatée ainsi !

Les mots graphiquement exprimés font référence à des peuples, des civilisations qui se sont acclimatés au contact géographique et climatique différents de ce que connaissait alors l'ADN de ces migrants. Répartis géographiquement et sociétalement sur toute la Terre, du Nord au Sud, ces individus sont doués d'une évolution humaine considérable et à considérer autrement que par le formalisme unilatéral des scientifiques bénéficiant eux, de financements publics et validés administrativement.


L'évolution humaine est celle des savoirs incarnés en l'Homme ayant une foi exprimée, de part et d'autre du Bassin méditerranéen, en Occident et en Orient, de part et d'autre à l'Est vers l'Ouest et du Sud au Nord ou du Nord au Sud. Cette évolution humaine est relative aux peuples d'ethnies et de races engendrant des savants, des savantes. La science et les femmes dans les milieux universitaires sont deux notions nouvelles. La femme scientifique se réservent le terme de scientifique car ce terme est institutionnel. Elles font du féminisme une science réservée et inatteignable pour les habitantes des QPV (Quartier politique de la ville). Malgré des diplômes, les formations universitaires ne sont pas adaptées à des compétences intellectuelles et à nos capacités de rentabilité normale de travail féminin. Seules les capacités intellectuelles des femmes scientifiques aux grades de Docteur, d'ailleurs à ce titre non pronnoncé en dehors du corps médical, nous plonge dans un monde formalisateur des lettrés masculins et de femmes scientifiques aux doctorats santionnant des recherches qu'ils habilitent.

Personnellement, j'aurai souhaité être docteur en histoire et archéologie médiévale. Cette ambition je l'ai gardée mais je l'exploite en indépendante. C'est pour cela que j'étudie avec mon titre maîtresse es art, les graphies des savants protohistoriques dont les publications et les études par les scientifiques hommes et femmes sont les sujets récents financés par l'Etat et l'Europe et les Trusts américains.


Ces connaissances 'terrestres' transmises aux peuples chrétiens dont je suis, sont élaborées graphiquement non seulement dans une idée de pérennisation des connaissances mais surtout dans une idée d'expression écrite de la pensée avant le langage, expression orale d'un son lu.


Ceci reste à prouver que la graphie n'est pas un son écrit mais une pensée exprimée dans la matière. Et ces matériaux où l'homme et la femme se sont exprimés sont le fait de la matérialité du texte dont je suis spécialiste.

La science des matériaux, leurs technologies relatives à l'expression de la pensée humaine est mon prochain sujet d'approfondissement en tant que spécialiste et historienne de l'art au statut de chercheuse indépendante.


Le spirituel des hommes vivant leurs écrits, de type littérature profane et religieuse au sujet de l'humanité est considéré par la science comme un domaine des sciences humaines et sociales, un domaine de l'Histoire et de la philosophie des sciences et des technologies masculines. Ce spirituel masculin met en veille l'expression féminine par la lecture d'ouvrages édités dans les maisons d'édition d'hommes exclusivement dominés par ce genre humain. Comment exprimer aux autres femmes, la pensée féminine ? Seuls les chercheurs universitaires et les éditeurs scientifiques ont le monopole des recherches financées. Je suppose que ces financement sont le fait de l'administration chapotée par des hommes qui sont responsables du formalisme masculin dans une routine ronronnante bien réglée et perturbable !


Mes recherches de sémiologies en tant qu'interprète féminine des biens culturels et des documents patrimoniaux qui sont accessibles tant en ligne qu'in-situ, plus ou moins proches de mon lieu d'habitation et de résidence permanente depuis ma Jeunesse font que je construit et développe ma pensée féminine et humaniste d'un genre nouveau : non pas l'intelligence artificielle mais l'intelligence "fémale" douée de la faculté de pensée, d'écrire et de lire. Ne nous manque-t-il pas que la parole pour parler aux Hommes ? De notre intelligence ?

L'intégration à la française ne passe-t-elle pas par l'acquisition de notions universelles de l'art exprimées par les peuples aux femmes vivantes au fil des civilisations masculines connues et enseignées ou à enseigner aux autres femmes ?

1 vue

Posts similaires

Voir tout

Comments

Rated 0 out of 5 stars.
No ratings yet

Add a rating
A ne pas manquer ...
Articles récents
Archives
Rechercher par Tags
bottom of page